Les recommandations du comité ministériel concernant les taxis d’hôtels – dont certaines concernent aussi des tour-opérateurs – ont été « faussées », soutient Ajay Jhurry. Le président de l’Association of Tourist Operators (ATO) s’élève contre le fait que le Conseil des ministres veuille imposer des mesures à l’ensemble du secteur alors que tous les acteurs n’ont pas été consultés par le comité interministériel. Cela n’a pas été le cas, explique-t-il, pour les « petits » opérateurs.

L’ATO ne conteste pas le fait que les taxis d’hôtels aient leur « part du gâteau ». Ni même que les opérateurs les plus importants en termes de chiffres d’affaires s’arrogent la majorité des touristes qui logent dans les hôtels sur l’île. L’association souhaite, en revanche, un partage plus « équilibré ». Et déplore que seuls les opérateurs économiques les plus importants en termes de chiffres d’affaires aient été consultés. Et d’avancer que les décisions annoncées pourraient être perçues comme étant le résultat de lobbies à l’œuvre et du financement politique accordé aux législatives.

Note : Cet article a été modifié pour enlever le mot « dernières » dans la phrase « financement politique accordé aux dernières législatives », en toute fin de texte, car ne reflétant pas exactement les propos d’Anil Jhurry.

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