Il faut établir une liste de fautes et de sanctions applicables en fonction de leur gravité. Car à ce jour, les recteurs disposent de très peu de recours et doivent se tourner vers le ministère de l’Education avant toute décision, fait valoir la Union of Rectors and Vice-Rectors of State Secondary Schools.

Ces commentaires interviennent au lendemain de la déclaration de Leela Devi Dookun-Luchoomun concernant les élèves auteurs de façon répétée d’actes de violence. La ministre a prévenu, le jeudi 30 mai : il y aura des sanctions.

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