C’est une «nuance qu’il convient de souligner» pour le Directeur des poursuites publiques. Son poste, rappelle Satyajit Boolell dans sa newsletter hebdomadaire, fait partie de l’exécutif et non du judiciaire. De «l’exécutif non politique», précise-t-il dans son éditorial, comme la Public Services Commission, l’Electoral Supervisory Commission ou encore la Disciplined Forces Service Commission.
A ce titre, aucune de ces institutions indépendantes ne doit rendre des comptes au Parlement, sauf sur les questions budgétaires, explique Satyajit Boolell. Elles doivent, en revanche, répondre au public à travers le système judiciaire et les demandes de révision judiciaire.
A lire la newsletter ici.
Petite parenthese…concernant les institutions sous la constitution.Rama Valayden l’avais dit ,que ce sont les personnes a la tete qui font l’institution.Ainsi celui qui y est a interet a etre audessus de tout et qui ne semble pas aussi facile car cela presume d’etre tres a cheval sur les principes.Et au cas ou il y aurait des soupcons alors celui ci devra savoir prendre la decision qui s’impose.
Le probleme c’est aussi la perception et la ,malheureusement pour contrer ce probleme on ne trouve pas mieux que de changer les regles du jeu.On l’a deja fait dans les annees 90 et parcequ’un certain grand monsieur ne pouvait sentir quelqu’un a la tete d’une institution,il n’a trouve mieux que d’allourdir le systeme en y incorporant des assistants au President.Ainsi le budget de l’institution aussi a du etre augmenter mais a la fin c’est toujours le President qui avait tout les pouvoirs!
Morale de l’histoire..a chacun son metier et les vaches seront bien gardees!
Ayo juste moi ki conner ki maniere biro dpp fonctioner Face a Face choose your forum and lieu.
Dans papier to pas politik mais dans le coeur to protege bne politicien.
And we all know how corrupt the Public Service Commission is.
Lepe pa mange ca boule la
Bizin amend LA loi lot miner li bizin vine 13an parski sa large LA zot pe fee prostitution